Arecaceae Acanthophoenix rubra (Bory) H.Wendl. Palmiste rouge des bas, Palmiste rouge CD : les plus grands sujets dépassent les 20 mètres ; stipe de 20-25 cm de diamètre ; base fortement évasée en pied d’éléphant ; 15 à 20 feuilles ; gaines foliaires couvertes de courtes épines noirâtres ; pétioles et rachis pratiquement glabres (1) RE : excessivement rare dans la nature ; subendémique (1) ; cultivé (ifR13) – forêt humide de basse altitude, de 0 à 700 m (1)MO : Réunion, Maurice (ifR13)
photos ID-Botanica   mi‑aime‑a‑ou  plantes&bot  planttreerun  mascarine  inpn.mnhn  atlas.borbonica  Google  Google images  Bing images  (siflore.fcbn)  (Kew)  Acanthophoenix rubra, Acanthophoenix crinita et Acanthophoenix rousselii étaient autrefois rassemblées sous la même espèce Acanthophoenix rubra (Bory) H. Wendl (Flore des Mascareignes, 1984) Le 'choux' (cœur) du palmiste rouge comme celui du palmiste blanc (Dictyosperma album) sont consommés à La Réunion (loR) FM : 189p24 ; 1 : Thierry HUBERT et al. – Les Palmiers de l’île de la Réunion (Latania, n°27, juin 2012)
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Espèce (sous-espèces ou variété) indigène ou cryptogène | |
Espèce (sous-espèces ou variété) exotique naturalisée | |
Espèce (sous-espèces ou variété) exotique présente uniquement à l'état cultivé ou dont la présence dans le milieu naturel est incertaine (données manquante) | |
Espèce (sous-espèces ou variété) occasionnelle ou dont la présence est incertaine. |